Vendredi 30 novembre, nous avons passé la journée au FRAC des Pays de la Loire, à Carquefou.
La journée s'était très bien engagée avec l'excellent accueil dans l'exposition des ateliers et à la bibliothèque, le repas à la cafétaria Casino et la présence en tout début d'après-midi de Christine Laquet.
Christine Laquet et Marc Vayer avaient convenu, en discutant, de laisser l'ensemble du groupe, et non pas un demi groupe comme initialement pensé, regarder la vidéo de la performance avant d'engager des commentaires et un dialogue.
L'ensemble du groupe s'est alors assis par terre, face à l'écran.
Pendant que les élèves et Anne Claire Gillot regardaient la vidéo, Christine Laquet et Marc Vayer ont profité de ce temps pour échanger sur la formation et les élèves.
A la fin du visionnage de la vidéo, Christine Laquet demande au groupe de se déplacer pour commencer l'échange et c'est alors qu'un élève, se relevant de sa position assise, a été déséquilibré dans le même mouvement et est venu heurter avec sa tête le bas de l'œuvre trapèze. Il s'était assis sous l'œuvre suspendue au plafond et n'a plus pensé en se relevant à la présence de l'objet au dessus de sa tête.
Une partie de l'œuvre en verre s'est donc brisé en "mille" morceaux.
Passé quelques longues minutes de stupéfaction, les élèves sont allés en bibliothèque pour travailler sur la notion d'hybridation.
L'ensemble du groupe s'est alors assis par terre, face à l'écran.
Pendant que les élèves et Anne Claire Gillot regardaient la vidéo, Christine Laquet et Marc Vayer ont profité de ce temps pour échanger sur la formation et les élèves.
A la fin du visionnage de la vidéo, Christine Laquet demande au groupe de se déplacer pour commencer l'échange et c'est alors qu'un élève, se relevant de sa position assise, a été déséquilibré dans le même mouvement et est venu heurter avec sa tête le bas de l'œuvre trapèze. Il s'était assis sous l'œuvre suspendue au plafond et n'a plus pensé en se relevant à la présence de l'objet au dessus de sa tête.
Une partie de l'œuvre en verre s'est donc brisé en "mille" morceaux.
Passé quelques longues minutes de stupéfaction, les élèves sont allés en bibliothèque pour travailler sur la notion d'hybridation.
Il nous faut ici remercier les médiatrices et médiateurs qui ont pris en charge le groupe pendant que le constat et le rangement de la salle s'opérait.
Il faut également remercier particulièrement Christine Laquet pour avoir réussi à objectiver suffisamment, le choc initial passé, et avoir engagé la discussion et commenté l'ensemble de son travail avec un petit groupe d'élèves.
Dès le week-end, Marc Vayer rédigeait des lettres à l'artiste Christine Laquet et l'équipe du FRAC pour faire part de nos regrets pour cet accident.
La mécanique des assurances va désormais se mettre en route pour permettre les indemnisations et également permettre à Christine Laquet de reproduire les pièces brisées constituées de pâte de verre moulée, soufflée et torsadée manuellement dans un atelier de maîtres verriers.
A gauche, l'œuvre Trapèze suspendue dans l'exposition de Christine Laquet au FRAC de Carquefou. (Photo issue du site web du FRAC) |
La caisse où sont rangés les éléments de l'œuvre Trapèze. |
Seul un des montants de l'œuvre Trapèze est restée suspendue après l'accident. |