mercredi 24 septembre 2014

Secrétariat des bilans 1STD2A [sept/oct]

  • Chaque séance de travail donne lieu à un bilan collectif de 5 à 15 minutes.
  • Dans un premier temps, les enseignants distribuent la parole, mais on s'organise vers une autonomie complète des élèves pour ces temps de bilans.
  • Chaque semaine, 2 secrétaires se relaient et s'organisent pour noter l'intégralité des échanges. Les minutes de ces bilans sont publiés ici chaque semaine en mode rétro-chronologique.
--------------------------------------------------------------------------------

BILAN DE SEANCE DU 13 /10/2014 

par Carole et Léa

Bilan « J'accuse... »

Mr Vayer : Procédons comme d'habitude, ça fait longtemps. Sur la question du palimpseste. Comment cela s'est passé ? Revenons au débutez, racontez. Evolution du travail, organisation, manière de répondre, à l'aise ou pas, le temps passé. Question de la mise en œuvre ( j'ai quelque chose à dire sur le nettoyage...) Raccrochage du palimpseste au chantier archéologie. Est-ce clair ou flou ?

Silence...

Au fait, il n'y a pas de frites ce midi

Rires...

On se fait piéger par les secrétaires en fait

Mme. Girardot : N'hésitez pas à prendre la parole, un peu comme le palimpseste, une superposition qui fait la richesse. Essayez de prendre la parole, même si ce n'est que pour 2 ou 3 mots. Rebondir.

Mr Vayer : Dorian, veux tu distribuer la parole ?

Yuna : Personnellement, problème de temps. Et les autres ?

Maëlle B. : Personnellement, si on a compris la consigne directement, on avait le temps mais si on s'est posé des questions au départ, on est plus en galère à la fin. Il y a eu des changements, donc dur de terminer.

Mr. Vayer : Continuez de parler fort. C'est quoi des changements ?

Aurore : Un coup palimpseste, un coup pas.

Mr. Vayer : Contradictions ?

Cassandre : J'aurais tendance à dire que ce n'est pas que sur le travail du palimpseste, depuis le début de l'année, les profs donnent des consignes et les consignes changent d'un prof à l'autre ? C'est difficile de s'y retrouver...

Petit silence

Yuna : J'approuve !

Rires

Mr. Vayer : Questions de consignes, normatifs (?!)

Marie : Vous voyez des nuances qu'on ne comprend pas.

Pauline : Je ne savais pas trop quoi faire, des fois c'était bien, des fois fois non, cela dépend du point de vue du prof ou de l'élève.

Silence


Cassandre : On ne sais pas quoi faire, mais vous nous dites ce qu'il ne faut pas faire. Thême global mais non-dirigés donc on part dans tous les sens.

Mr. Vayer : Hummm...

Petit rires et silence

Mme. Girardot : Plusieurs interprétations du sujet. On est pas en mathématiques, il faut accepter que l'on est dans une matière ou tout n'est pas maîtrisé, on ne sait pas exactement ou on va, il faut faire confiance au processus surtout dans l’expérimentation plastique. Je comprends vos questionnements et vos interrogations mais on ne vous a pas laissé dans la nature, il y a des consignes, des choses qui sont dites, c'est à vous de vous approprier les éléments, il y a la prise d'autonomie

Maëlle B. : Le problème, c'est que dans vos sujets, chacun le voit d'une manière différente car lorsqu’on en parle entre nous, on ne sait pas qui a raison et quand on vous en parle, c'est complètement différent. On ne sait pas ou on va.

Merlin : C'est la guerre la !

Rires

Mr Vayer : Comme ça a sonné, on ne va pas poursuivre... mais c'est très intéressant !

Rires


Du 6 au 10 octobre,
Secrétaires : Amandine et Dorian

Lundi 6 octobre

Bilan sur les maquettes rendus

Les maquettes réalisées sont cohérentes avec l'idée globale que les profs se faisaient du résultat. Elles sont très diversifiées, leur fabrication révèle un bon engagement et un bon travail d'équipe avec des outils utilisés de façon précise. On sent un bon engagement et un sérieux dans le travail (dans les maquettes mais aussi les dossiers). Le fait de travailler avec des gens avec qui on aurait pas travaillé habituellement nous a sans doute permis d'être plus concentrés, mais certains groupes ont parfois mis du temps à bien commencer.

Les rendus des dossiers ont démontré un travail sérieux et correct (globalement). Les relevés faits sur place n'étaient pas toujours droits (avec les tracés) mais les données et les mesures relevées étaient utiles.
Pour une première approche, les rendus de dossiers étaient pas mal, mais il fait faire attention à la cohérence ; avec les photocopies, en s'appropriant la matière par croquis, couleurs... ; avec de l'ordre, avec un même format, une même couleur de pages, une reliure (ne jamais rendre de feuilles volantes) ; et en s'appropriant les prises de notes du cours, avec des croquis, une mise en valeur des titres, des informations importantes ou autres avec un code couleurs (par exemple).
Dans les dossiers, il faut faire attention au découpage/collage.
Apporter une réflexion personnelle sur le sujet est bien, mais il ne faut que ça soit rendu en brouillon.
Ce qui est bien également, c'est le lien entre la présentation du compte rendu et l'état d'esprit du péage ; par la façon de coller les recherches ou les photos et la typographie choisie. Ça permet de ressentir le sujet quand on lit le(s) dossier(s).

Dans les dossiers (exemples de dossiers choisis, pour s'inspirer pour les prochains) :

  • Il ne faut pas rendre des feuilles volantes. Il faut une reliure (mais rapide, simple), pour réutiliser facilement le dossier plus tard. Il faut penser au côté pratique du compte rendu.
  • Ne pas utiliser de pages entières juste pour les titres, c'est inutile.
  • Il faut inclure les liens avec nos recherches personnelles, avec le pôle ATC, pour montrer qu'on a fait notre travail et qu'on s'est impliqué dans le projet, pour mieux le comprendre. (Il faut toujours mettre les sources de nos recherches).
  • Il faut toujours revisiter le projet en se le réappropriant.
  • Il faut mettre en relation les différentes planches, avec les photos ou les croquis. Les mettre en couleurs pour revaloriser certaines infos. 
  • Ce qui est génial, c'est qu'il y a eu très peu de décorations dans les dossiers, car c'est inutile. 
  • Ce qui est bien aussi c'est d'avoir différentes approches sur tout ce qu'on a pu voir sur le péage sauvage et une synthèse.
  • Il faut faire attention à la clarté ; avec différents types de tracés ou des organigrammes (mais simples), pour bien communiquer les idées.
Les 2 grands défauts principaux des projets sont :
 La quantité de travail :
      - Il est dit qu'il faut des croquis rapides et ABONDANTS !
      -  Donc il en faut pleins, pas juste 3, mais plutôt 15.
 

Il faut faire attention au soin apporté au dossier :
    - Pas du soin par rapport aux traits si ils ne sont pas droits, se n'est pas ce qui est important
      - Du soin dans les croquis, la mise en page qui doivent être organisées.
      - Certains dossiers sont très soignés et d'autres très peu.
      - Les papiers doivent être de même taille et de même couleur, pour la cohérence.
     - Il faut passer du temps à organiser les informations, sans recommencer si le travail est déjà fait dès le début.

 La prochaine fois, il faudra bien faire attention à appliquer tout ce qui est dit dans ce bilan, et passer un temps à étudier notre compte rendu en s'appuyant sur le bilan ! Les commentaires faits doivent nous être utiles !

Mardi 7

pas de bilan, sortie au couvant et travail en autonomie au lycée.

Mercredi 8

pas cours d'Art Appliqués.

Lundi 29 septembre 2014
Secrétariat Salomé legrand

Bilan sur la relation entre le constat, les conditions de travail et le résultat. Êtes vous satisfait par rapport à l'objectif de départ ? Pourquoi ?

Mr Vayer : Travail super. Globalement, il y a de la correspondance entre ce qu'on attendait et ce que vous avez fait. Quelques commentaires ?

Cassandre : On est parti sur une idée qui a été validée et finalement on s'est rendu compte que ce n'étais pas l’essentielle. Du coup on est déçu d'avoir passé notre temps là dessus alors qu'on aurait pu faire plus de détails sur le péage sauvage, enfin sur le bâtiment au lieu de l'environnement.

Mr Vayer : Ce n'est pas inutile. Ça va vous resservir par la suite, il n'y a pas de soucis là dessus. Au moins un commentaire par groupe ?

Souraya : On est contente de ce qu'on a fait mais on avait pas assez de temps pour finir. Du coup on est déçu. On a bien géré notre temps pourtant mais on en avait pas assez.

Yuna-May : On avait le même problème que Cassandre, on s'était basé sur l'environnement alors qu'on pouvait améliorer notre maquette. Néanmoins n est fière d'avoir réussit à montrer quelque chose de bien fait. C'est vraiment pas mal pour une première maquette.

Maëlle B : A mon avis, le temps dépend de l'organisation. Quand on a une petite maquette c'est plus simple que pour une grande. Vous n'avez pas dit les mêmes consignes, Mme Girardot nous a demandé de faire minimum 1/75 et vous cela vous était égale.

Cathy : On trouve que cela rend moins bien au final que ce que l'on pensait au début.

Typhanie : Il y avait une mauvaise gestion du temps pour notre part. On a pas pu améliorer certaines choses.

Mathilde : La maquette avait le résultat qu'on attendait mais je pense qu'on ne sait pas posé assez de questions avant de se lancer. On est allé un peu trop vite. On ne sait pas assez attardé sur la technique, l’esthétique ou encore l'échelle, je pense.

Amandine : Les pièces sont parfois de longueurs différentes, c'est difficile à gérer et assembler mais globalement on a réussit à faire une bonne maquette alors on est content.

Mr Vayer : Bien, maintenant la question de l'entreposage des maquettes. On les laisse en salle 84 ? Il y a des aléas ? En salle 79, c'est trop éloigné. En revanche la salle 78 me paraît bien, sur les tables du fond. Mettez des étiquettes avec vos noms. On verra plus tard comment on les entrepose définitivement. Ceux qui n'ont pas finit, trouver un moment pour finir, ça ne doit pas dépasser 10 minutes.


lundi 22 septembre-matin / Bilan fin de séance
Marie Le Priol et Souraya Habchi : secrétaires

M.Vayer : Suite au bilan que vous avez fait seuls où vous étiez plus décontractés, je propose que nous essayons une manière intermédiaire où un élève donne la parole pour qu’il n’y est plus d’appuis sur les enseignants, et seraient donc au même niveau d’intervention que les élèves.

Accord de tous.

M. Vayer : Donc qui veut donner la parole ?

Tiphanie se propose.

M. Vayer : Celui qui donne la parole doit parfois relancer la conversation.

Tiphanie : Des impressions ? (rires) Comment se passe l’organisation ? La mise en place ?

Silence. Rires.

Cassandre : Le travail en groupe est intéressant car nous sommes autonomes, nous pouvons avancer a notre vitesse sans visites répétitives des enseignants, je trouve ça bien.

Silence.

Mme Girardot a relancé.

Silence.

Maëlle R. : Je trouve que faire des choix est difficile, nous  sommes livrés a nous-même, il faut parler entre nous pour prendre des décisions face aux problèmes.

Tiphanie : Et par rapport au temps ? Vous pensez arriver à finir ?

Mathilde : Je suis pas sure d’être dans les temps , c’est une période d’expérimentations pour l’instant et on a dû mal a s’organiser.

Tiphanie : Comment se passe l’organisation ? La répartition du travail ?

Yuna-May : On a fait un plan et on s’est distribué les rôles pour ne pas rester inactifs. On reste toujours en mouvement.

Tiphanie : Des précisions ?

Maëlle R. : J'ai pris sur moi car on a par forcément pris des matériaux qui vont ensemble esthétiquement parlant donc il fallait faire abstraction de ça et ne pas oublier quel point de vue on a choisi : esthétique ou technique.

Silence.

 M. Vayer : On s’arrête là, pas la peine de prolonger des silences. Réfléchissez a la question du bilan, comment utiliser ce moment sinon c’est inutile. Pensez a rangé la matériel collectif pour éviter qu’il s'égare.

[environ 8 min]


lundi 22 septembre / Pré-bilan début de cours
Marie Le Priol et Souraya Habchi : secrétaires

M. Vayer : Pensez a croiser les bilans et allez voir sur ARSA live les résumés. Il y a des confusions de qui a la parole mais c’est très bien retranscrit.
Avez-vous enclenché le travail de carnet de bord ? Pensez a hiérarchiser,  faire des collages,croquis..

Mme Girardot nous montre un carnet de terminal abandonné.

M. Vayer : Votre carnet doit tout le temps être manipulé, relu, etc.

Compte rendu bilan séance 17/09 (8h00-9h50)
(dessin de perspectives sur le self)

AC Gillot : Qui veut intervenir sur la manière de procéder ?

Maelle R : C'est très difficile de se lancer, sans maîtrise, et de devoir accepter ses erreurs.

AC Gillot : Qui veut réagir sur ses propos ?

Carole : Je pense qu'une fois qu'on a compris ça vient tout seul et on gagne en rapidité.

AC Gillot : Qui a peur de ne jamais y arriver ? personne ne réagit Il faut cibler le travail et ne pas bloquer sur les tracés pas droits ! Avancez.

Merlin : Le tâtonnement est possible là, les mesures ne sont pas précises.

AC Gillot : Il faut trouver l'équilibre sans la règle.

Compte rendu bilan séance 16/09 (14h35-17h30)
(partie 1 au bout d'une heure de travail)

M.Vayer : Comment avez vous mis en commun une réponse au problème posé ?

Léa : On a mis en commun tous les mots qui nous faisaient penser à une maquette puis on a commencé à réfléchir à l'échelle.

AC Gillot : Quels critères vous avez utilisés pour choisir votre échelle ?

Léa : La longueur et la hauteur de la structure.

Souraya : On a essayé de voir le rendu pour 1m = 5cm, par exemple. Qu'est ce que ça donnerait.

M.Vayer : Vous avez un peu tâtonné. On fait ça dans le sens contraire habituellement. D'autres aspects ? Le rapport de l'échelle ?

Maelle R : Nous on a décidé de ce qu'on voulait mettre en avant dans notre maquette pour définir l'échelle.

M.Vayer : Il s'agissait de caractériser sa maquette.

Maelle R : Après on a choisi également en fonction des contraintes que le patron nous imposait, et on en a déduit deux possibilités : une maquette plus axée sur l'esthétique et une plus sur le détail et la précision, sans réel intention de reproduire les matériaux.

Maelle B : Les mesures sont importantes, il faut les adapter pour que ça soit ni trop grand, ni trop petit.

AC Gillot : Comment juger si c'est trop petit ou trop grand ?

Léa : A l’œil ?

AC Gillot : Qu'est ce que ça signifie pour toi ? Que quand ça déborde de la règle, c'est « trop grand » ?

Merlin : Nous on a choisi l'échelle en fonction du temps disponible et de la taille de notre plus grand carton.

M Vayer : On doit travailler avec les contraintes de temps et de matériaux.

Marie : Nous on a choisit l'échelle pour que la maquette tienne.

M Vayer : Tenir debout ?!

Marie : Enfin que les fixations tiennent le coup.

Merlin : Si c'est trop petit, on ne voit pas l'intérieur et si c'est trop grand, on ne peut pas se l'imaginer dans la réalité.

M Vayer : le travail s'adapte au niveau de détails souhaités. Autres manières de procéder ?

AC Gillot : Je ne vois pas ce que les filles voulaient dire tout à l'heure avec leur règle...

M Vayer : Elles travaillent intuitivement peut être ? Rires

Souraya : Mais on a aussi travaillé en rapport avec le temps disponible !

AC Gillot : Si on a déjà une idée de la taille que l'on veut obtenir, trouver l'échelle est plus facile.

M Vayer : Intéressant !

AC Gillot : Toujours !

Merlin : Il faut aussi choisir une échelle pratique pour la conversion.

M Vayer : Oui c'est aussi important.

Cassandre : Si c'est trop petit, c'est trop minutieux.

M Vayer : Petit ?! C'est une question de précision

Cassandre : C'est difficile de travailler avec des mesures entre 0 et 1 cm.

AC Gillot : Du miniaturiste.

M Vayer : Quelqu'un peut définir minimaliste ?

Yuna : Très simple et très clair à la fois.

M Vayer : A votre avis, on attend de vous des maquettes toutes à la même échelle ou à des échelles différentes ? Des différentes, oui. Cette maquette est un exercice, on ne compte pas s'en servir pour autre chose après, alors on aimerait bien des échelles variées.

AC Gillot : Il faut faire confiance à vos critères. Selon votre objectif de montrer l'intérieur, ou l'extérieur, vous définissez un critère et après une échelle et foncez !

M Vayer : Avant, vous caractérisez votre maquette. Par exemple la précision. Faire trop grand demande beaucoup de matériaux et de temps. Et au final, à quoi ça sert ?... Quelle histoire votre maquette raconte-elle ? Elle est destinée aux regards.

AC Gillot : Maelle parlait de technique et d'esthétique.

M Vayer : Vous y aviez pensé à donner du caractère ?

AC Gillot : Une maquette précise, impeccable mais avec des matériaux non réalistes ? Ou une maquette qui mise sur l'ambiance et le contexte ?

M Vayer : Vous avez le choix entre deux catégories : Provoquer des sensations ou informer.

Souraya : Chacun choisit par groupe ?

M Vayer : Oui. Vous voyez ces petits objets fabriqués au Mali par exemple ? Ces petits vélos faits à partir de canettes de soda. Vous avez une précision incroyable mais les matériaux sont bruts. Vous pouvez l'appliquer sur votre maquette. Attention, il y a une nuance entre la maquette et le modèle réduit. Avancez ! Vous avez la possibilité de vous tromper en cours de route.

AC Gillot : A votre avis maquette colorée ou en noir et blanc ? Noir et blanc paraît plus judicieux.

M Vayer : Appelez nous pour valider votre projet quand vous avez une idée de l'échelle et justifiez vous.


M Vayer : On va évoluer dans le bilan. Racontez nous vos difficultés, votre enthousiasme ! Vous avez lu les derniers bilans ? Allez les lire en dehors des séances.

Maelle B : Cette séance était... perturbante. On a pris une mauvaise direction. Dans le travail de groupe, on avait toutes nos idées mais on était dans l'impossibilité d'exprimer une ligne de conduite. Après, on a tout mis sur papier au clair et on a réussi à avancer.

M Vayer : Pour certains il a fallu deux heures pour cette phase de formulation, c'était nécessaire pour avancer.

Aurore : Moi j'étais hyper motivée mais on a eu des contraintes freinantes qui nous ont empêchés d'avancer.

M Vayer : De l’hyper-motivation ?

Aurore : On y voyait pas le bout.

M Vayer : Pourquoi ?

Aurore : On a du changer plein de choses au fur et à mesure.

M Vayer : Il faut accepter que c'est pas une ligne droite.

Typhanie : Au début on avait une idée fixe, mais au fil des discussions elle a bougé. On a tout réorienté pour simplifier et clarifier.

Yuna : On était un peu... sans idées ! On avait tout dans la tête, on a tâtonné au niveau des matériaux pour arriver à une forme qui nous plaisait.

Maelle B : C'était intéressant, on était un peu perdus. Il y a eu une grande évolution du début à la fin.

M Vayer : Due à ?

Maelle B : A nos échanges qui ont entraîné une réorientation.

M Vayer : Ce bilan était très court !


Compte rendu bilan séance 15/09 (15h40-17h30) Demi groupe
(sans la présence d'enseignant)
 

PREMIER GROUPE

Coline : Alors, la séance ?

Cassandre : C'était vraiment bien de travailler par groupe de 15. On voit la cohésion, la motivation, on est calmes et organisés.

Salomé : Une sorte de fusion quoi ! Rires

Léa : Le récapitulatif sur les objectifs en début de séance était vraiment utile, personnellement ça m'a rafraîchi la mémoire.

Clarisse : Oui, on a vu les « grandes étapes »

Léa : Oui, et en quelque sorte l'avenir de ce projet se dessine mieux.

Salomé : Ça nous motive de savoir la suite, ça nous rebooste et nous donne un but à accomplir et des manières pour y accéder. Ça change de l'année dernière.

Coline : En quelque sorte une coupure avec la seconde.

Typhanie : Le travail à 15 me paraissait plutôt... effrayant ! Mais au final notre groupe était très calme et organisé. C'était sympa d'avoir des notes pas piochées sur Internet.

Coline : C'est plus captivant quand quelqu'un te le raconte !

Typhanie : Oui voilà ! Et on voit les lieux en vrai.

Mathilde : On a pu récapituler nos informations, et se compléter nos notes. Personnellement ça m'a aidé sur ma prise de notes, j'avais manqué plein de choses !

Coline : Oui les échanges étaient importants, j'ai rajouté plusieurs choses également.

Léa : C'est rassurant d'avoir des notes similaires. C'est aussi rassurant un bilan sans le prof, non ? Rires

Cassandre : Je pense que ça serait mieux de laisser les élèves faire le bilan seuls, c'est plus agréable et on est moins effrayés pour prendre la parole ! Non pas que la présence du prof soit gênante, mais on se sont plus proches les uns des autres.

Amandine : J'ai l'impression que c'est plus rapide aussi. 

DEUXIEME GROUPE 

Dorian : Alors qu'est-ce que vous pensez de la séance ?

Emilie B : On est parti , on pensait faire une mise en commun et du coup ce n'était pas ça. Incompréhension de la consigne

Yuna : D'accord on a étudié le fait de faire la démarche

Carole : Répétitif

Marie : Trop grande feuille

Emilie B : On s'est rendu compte trop tard !

Margaux : On n'a pas compris la consigne.

Maëlle R : Intéressant

Pauline : On ne peut pas tout faire , on doit faire par petit bout.

Marianne : Organisation de groupe de 15 c'est beaucoup trop compliqué. Faut trouver une organisation.

Dorian : Plus de concentration peut être mieux.

Merlin : Dur d'organiser des recherches alors qu'on n'a pas de problème posé.

Marie : Je ne trouve pas le lien entre la chapelle et ce qu'on a fait cette après midi.
 
Compte rendu bilan séance 15/09 (8h55 – 12h45)



M.Vayer : Le bilan sert à retranscrire la manière dont les événement se sont déroulés. Est ce que c'était agréable ou au contraire éventuellement déplorable ? Ça a été une matinée riche, vous avez sûrement beaucoup à dire.

E. Girardot : Il ne faut pas hésiter à partager.

Yuna : C'était intéressant de rencontrer un archéologue, c'était sûrement la première fois pour tout le monde. Ça nous a servi à briser ces clichés qu'on se faisait sur le métier, et ça nous a ouvert des portes sur l'archéologie, notamment sur l'archéologie du bâtiment. Et c'était audacieux de nous emmener dans un cimetière !

M.Vayer : Qu'est ce que tu veux dire par « intéressant » ?

Yuna : Ça m'a permis un nouveau regard sur l'archéologie et des nouvelles connaissances notamment en histoire religieuse.

Cassandre : L'intervenant était intéressant, il complétait la visite. Sans lui, je n'aurais certainement pas accordé autant d’intérêt à la visite. Ça m'a permis une meilleure compréhension.

M.Vayer : Et que pensiez vous du rythme de travail ? De la relation avec l'archéologue ?

Maëlle B : Partir sans consignes, sans but, devoir tout prendre en note, dessiner chaque détail mais sans savoir pourquoi ça a tendance à me « bloquer ».

M.Vayer : Blocage ? Tu ne crois pas que ton terme est incorrect ? Trop fort peut être ?

Maëlle B : Ce n'est pas la première fois que ça m'arrive.

E. Girardot : Tu as l'impression de ne pas voir le bout ?

Maëlle B : Je trouve ça dérangeant de partir sans aucune idée de ce qu'on va faire par la suite.

Maëlle R : Moi je trouve, au contraire, que ça nous fait travailler le « lâcher-prise ». On doit sélectionner et exploiter des choses qui nous plaisent uniquement. Les consignes nous forcent à nous plier à quelque chose.

Yuna : En plus, on part sans connaissances, ça fait de nous des « minis-enquêteurs ». Et on peut apprendre de nos erreurs.

M.Vayer : Même si vous n'avez pas vraiment de chances de vous tromper. A quoi pourrait servir le fait d'avoir un but aussi lointain ?

E. Girardot : C'est bien qu'on ai des retours différents. On peut avoir des intentions sans but et se donner des objectifs quand même. Ça permet de rechercher.

M.Vayer : Vous aurez des réponses plus tard, en dehors du bilan. Encore ?

E.Girardot : Pas de retours sur la rencontre avec l'archéologue ?

M.Vayer : Sa manière de s'exprimer ?

Salomé : Ça se voit qu'il aime son métier et qu'il aime nous apprendre des choses et répondre à nos questions. Il est passionné, il détaille bien ses réponses et c'était enrichissant.

Carole : Moi j'ai trouvé qu'il essayait de se mettre à notre niveau, et c'était vraiment bien, il adaptait ses propos si on ne comprenait pas.

Silence

E.Girardot : Il va falloir apprendre à se lancer !

Pauline : J'ai trouvé qu'il y avait une approche artistique différente. Il ne nous a pas vraiment parlé d'art, comme dans les cours d'arts.

M.Vayer : Qu'est ce que tu appelles cours d'arts ?

Pauline : silence, rires

Pauline : C'est dur à expliquer... Le travail en cours.

M.Vayer : Tu veux dire qu'il procède pas de la même manière ?

Pauline : Non, mais on a pas eu de références par exemple.

E.Girardot : Il aurait pu vous en citer mais ça aurait été difficile. Tu voulais peut être parler d'une lecture artistique différente ? Même si c'est une question vaste.

Juliette : On peut imaginer qu'il travaille en collaboration avec des auteurs par exemple, ça fait une référence.

M.Vayer : Oui, l'archéologie au service de la bande dessinée par exemple. Bon, nous allons clore le bilan. C'est pas facile de prendre la parole, mais on va y arriver. Ceux qui ont parlé à cette séance ne parleront pas la prochaine fois. Sauf si Yuna a quelque chose de très important à dire. Rires. Il faut savoir faire circuler la parole.


Bilan Mardi 09/09 séance 3 [Margaux Jeanmaire et Mathilde Jouitteau]

A. C. Gillot : Bonne fin de séance.

Aurore : C'est bien de se représenter le bâtiment mais pas simple de savoir exactement quoi faire (renfoncement, obstacle).

M. Vayer : Il faut plus parler de comment ça se passe que du contenu.

Souraya : Séance plus intéressante qu'hier car on avait les méthodes donc on était plus en autonomie.

Maelle B : impression de ne pas réussir à représenter l'architecture. C'est difficile car c'est très carré.

Juliette : Le fait qu'on sache qu'on va faire une maquette permet de savoir quelles infos on dois prendre.

Cassandre : Un bâtiment qui paraît simple au début est plus complexe en étudiant.

M. Vayer : Qu'avez-vous pensé d’aller in vivo, à part la chaleur ? Quelles sensations ?

Yuna : On pourrait bouger, allez à l’intérieur, comprendre comment c'est fait et avoir différents points de vue, pas comme la cantine.

A. C. Gillot : Pourquoi pas lors de ce déplacement dans la cantine ?

Yuna : On était juste devant les façades.

Cassandre : Ici, on a pu voir toutes les faces.

Yuna : Ici, on était en interaction directe avec l'objet.

M. Vayer : Que pensez-vous du travail en groupe ?

Carole : Indispensable pour les différents points de vue qui vont aider pour la maquette.

Cassandre : Malgré les groupes on s'est aidé collectivement.

M. Vayer : On va repartir, il faut marcher vite et ensemble

 Bilan Lundi 08/09 séance 2 [Margaux Jeanmaire et Mathilde Jouitteau]

M. Vayer : Concentration au moment du bilan. La séquence c'est : quels sont vos avis ?

Cassandre : Etonnée car j'ai réussie à faire quelque chose de ces dessins dit moyens.

Maelle B : J'ai refais pas mal de croquis pour plus de clarté.

M. Vayer : Simplifier/Hiérarchiser permet de s'organiser pour finir les travaux

Carole : C'était flou car peu d'instructions.

Yuna : Il faut représenter l'extérieur de la cantine en faisant ressortir des détails.

Pauline : On essaie de retransmettre ce que l'on voit de façon schématique, grâce aux codes, c'est plus simple.

M. Vayer : On va explorer ces codes. Prochaine séance : sortie au péage sauvage (ne pas chercher ce que c'est). En même temps, on débutera le chantier archéologique (chapelle St Étienne)

Bilan Lundi 08/05 séance 1 [Margaux Jeanmaire et Mathilde Jouitteau]

M. Vayer : Modalités /  Je parle lentement. Il est important de tout noter même les silences. Le bilan permet de s'exprimer, sur ses surprises / satisfactions / doutes / sentiments personnels et collectifs. J’organise la parole.

E. Girardot : Osez est un acte de création.

Yuna : Avec les croquis courts on s'améliore rapidement. On contacte l’évolution et on apprend en réunissant tous les dessins.

Juliette : Le fait que ce soit répétitif entraîne une dégradation car on s’ennuie.
 
Casandre : Grâce à la répétion on a une connaissance du bâtiment on gagne en assurance, mais quand on change de face on retourne au point de départ.

Emilie B. : on progresse et on fait moins d'erreurs.

Maelle B : Sur la 1ère façade, c'est difficile car on a jamais fait d'élévations, puis sur la deuxième on change de regard.

Malo : La répétition donne l'impression de challenge, on veut toujours faire mieux qu'avant.

Yuna : Grâce aux codes communs, on se retrouve avec à peu près les mêmes dessins.

Aurore : J'ai bien aimé car les contraintes des professeurs entraînent une amélioration.

Cassandre :  Frustration car sentiment d'apprendre mais pas de réussir.

Clarisse : C'est long et fatigant.

Merlin : Ça paraît plus court qu'une vraie heure de cours.

M. Vayer : Si on a un sentiment de fatigue ou de difficulté, il faut en parler.