Support de cours (lire, conserver, mémoriser, utiliser, prolonger)
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| etc. |
A télécharger [PDF 8 Mo]
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T.P. [Analyse sur la base d'une description des signes plastiques puis de déductions]
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BONUS [contemporanéïté de l'hybridation design]
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| designer AlexTricoire / Jardin des plantes Paris 2014 |
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| designer AlexTricoire / Jardin des plantes Paris 2014 |
Hybridation synthétique // naturel + upcycling
Extraits du dossier de presse
Les éléments installés en "populations", pièces et matériaux issus du recyclage de l’industrie et de l’artisanat de la Brosserie française, révèlent et transcendent la beauté des paysages hybrides apportant une nouvelle lecture de la relation entre l’objet et la plante entre le naturel et le synthétique.
Esprit land art : du naturel a l’artificiel
Selon Christo, l’artiste qui revisite le Land Art avec des composants modernes, l’apport d’un élément peut révéler la structure, l'usage, la beauté ou la dimension symbolique d’un lieu naturel. Dans ce contexte, le produit industriel, ici des matériaux issus de l’industrie et l’artisanat de la Brosserie perd son identité d’outil fonctionnel pour rejoindre le statut symbolique de composant artistique. Par une métaphore biomimétique, il recompose un nouveau paysage hybride, féérique et surréaliste.
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| designer Cho Hyung Suk |
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| designer Cho Hyung Suk |
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| designer Cho Hyung Suk |
Hybridation tradition // modernité. formes classiques // formes contemporaines. Jeux de matériaux
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| studio NOCC. Elements Le système d'étagères Elements est une série de modules métalliques qui combinés à des planches de bois, constituent les éléments de montage d'un étagère "do it yourself". Ils sont fournis à plat sous la forme d'une fine plaque d'aluminium de 1 mm d'épaisseur découpée au laser. Leur découpe permet de créer par simple pliage des modules de soutient internes et externes. Ils se fixent à toute planche ayant une épaisseur standard de 18 mm que l'on peut se procurer partout. Assemblés les uns au-dessus des autres ou en décalé, le système d'étagères Elements jouent avec les codes industriels et offre une infinité de constructions, laissant libre court à la composition, la fonction et l'esthétique du mobilier. |
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| studio NOCC. imprint Imprint is a stool and/or occasional table system that consists of two elements.The concret one takes its form from the materialization of the negative space beneath the wood one. Taking the imprint of the upper element by materialising the empty space beneath it brings to our attention something we are not normally used to seeing. This treatment of the "void" evokes the opportunity to address previously neglected spaces. Our surroundings nowadays are more often defined by volume rather than area. |
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| studio NOCC. The joints Le tabouret « Joints » est un catalogue de savoir-faire illustrant les différentes façons de joindre un pied en bois à un autre. Chaque face du tabouret présente une nouvelle technique créant ansi un objet changeant et ludique. Le tabouret est un objet dont nous avons tous un souvenir, du tabouret de bistro, à celui de la ferme ou de la maison de campagne. « Joints » est un amalgame de ces mémoires. |
studio NOCC : Détourner les codes + vers de nouvelles fonctions
Exposition Recto verso 2014 / Musée des arts décoratifs /
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| Studio AKATRE |
Le designer graphique est-il un technicien de la communication ou davantage un artiste ? Par nature multiple, disséminé dans l’espace public, un objet graphique lié à une commande, (affiche, document...) va à l’encontre des critères définissant une œuvre d’art. Pourtant, depuis le début des années 2000, le design graphique n’est plus uniquement une pratique où se développent des enjeux économiques et culturels mais est envisagé, par certain de ses acteurs, comme un lieu d’hybridation critique entre la communication visuelle et l’art contemporain.La présentation de ces deux « catégories » de travaux montre que leur porosité participe à terme à construire un seul et même univers artistique et plastique.
travaux monstres ?
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| Typographie "HISTORY" de Peter Bil'ac |
Extrait de l'article « Usages sociaux du caractère typographique », paru dans Livraison 13
(...) La démocratisation des outils conjuguée à la dé-légitimation de la compétence esthétique a contribué à brouiller les frontières qui interdisaient au profane, jusqu’au milieu du XXe siècle, l’accès à un espace restreint dont les imprimeurs avaient le monopole : la typographie. Ces deux facteurs sont à l’origine de profondes modifications du rapport à la forme typo-graphique, qui, dans le domaine de la production, comme dans celui de la « consommation » si l’on prend le point de vue du lecteur, invitent à reconsidérer la lettre en dehors de ses usages légitimes et des critères esthétiques dominants. Repenser la valeur du signe dans la perspective de ses usages, c’est aussi réfléchir, en dehors des classifications proposant des catégories transcendantes, aux conventions qui nous lient à son existence. Cette valeur n’est alors plus à chercher dans la forme, mais dans le spectateur qui en est le témoin, et au-delà, dans tout ce qui accompagne l’écrit et qui ne relève plus de la lecture. (...)
La forme de la lettre fait référence à une culture, une époque, un contexte. À travers la superposition de langages typographiques d’époques différentes, l’History de Peter Bil’ak réactualise ces références en répondant à Frutiger par la surenchère : Univers inversé, l’History émerge bruyamment d’un mélange additif, là où l’ossature dépouillée du caractère de Frutiger procédait d’une synthèse soustractive. (...)
